Aperçu de différents travaux de réflexion menés au sein de la Loge Equerre dans les dernières années 

 

La liste ci-dessous a comme objectif de montrer la variété des thèmes travaillés
et non de fournir une liste exhaustive, loin s'en faut !

 

« L’ordre maçonnique : légendes plurielles et histoire singulière »

Résumé : "D’où venons-nous ? Qui sommes-nous ? Où allons-nous ? C’est très humblement à une réflexion de ce type que je vous invite à participer ce soir.

La FM est l’une des dernières et des plus anciennes sociétés initiatiques aujourd’hui présentes dans le monde occidental. C’est encore trop souvent un lieu commun dans un grand nombre d’ouvrages consacrés à cette institution de lire, sans nuance aucune, qu’elle provient directement des « bâtisseurs de cathédrales. L’objet de ce travail n’est pas de vous conter d’une manière qui ne pourrait être que fastidieuse et subjective l’évolution historique du « fait maçonnique », depuis les premiers tailleurs de pierre, en passant par les générations de bâtisseurs de cathédrales jusqu’à nos prédécesseurs des XVIIème et XVIIIème siècles, les francs-maçons spéculatifs. Au risque d’apparaître parfois iconoclaste, ma démarche s’attachera davantage à faire un point de l’état actuel de la recherche historique sur les origines de la franc-maçonnerie spéculative, des différentes écoles qui se sont succédées avec des analyses assez différentes de la question, et de l’apport récent des travaux de quelques historiens, universitaires, maçons ou non, qui ont pris le parti de travailler avec pour préoccupation comme cela est rappelé à l’ouverture de nos travaux, la recherche de la vérité..."

« La main, un  outil avant les outils »

« La prison »

« L’Amitié »

« La féminité dans le monde masculin »

« Le Temps en Maçonnerie »

Résumé : "Ce travail est destiné à nous convier à une réflexion sur le Temps en Maçonnerie.

Après quelques rappels d'ordre général, à propos de la spécificité de l'engagement et de la démarche maçonniques, une deuxième partie est consacrée à un retour sur les nombreux éléments concernant le Temps dans notre symbolisme et notre rituel. Cela nous permet de bien distinguer le temps profane et le temps du Maçon et surtout de percevoir l'importance de cette distinction.

La troisième partie s'attache à montrer quel sens donner au temps maçonnique et les conséquences qui en découlent pour la nature et l'objet de nos travaux.

L'accent est mis en particulier sur la distinction à faire entre le Temple où l'on médite et le Forum où l'on agit, et sur la nécessité de ne pas confondre l'un avec l'autre.

Dans une dernière partie, en forme de conclusion et de méditation sur le Temps qui nous reste, c'est l'Orient éternel qui est évoqué: espace lointain et inaccessible et/ou temps dont la compréhension nous échappe? C'est notre Secret ..."

« Les mots pour ne pas le dire »  

Résumé : Euphémismes (on ne dit plus mise au chômage massive mais plan social) détournements de sens (les partenaires sociaux sont-ils vraiment partenaires ?) litotes, néologismes, etc … : une nouvelle langue nous est imposée par les dirigeants, par les média, par les communicants en tout genre. Quelles intentions se cachent derrière ces usages ? Tentons de comprendre ce qui se joue à travers ces mots et expressions alambiqués, élaborés , utilisés par les porte parole du politiquement correct , du néo libéralisme, qu’ils soient représentants des  milieux politiques, économiques, journalistiques ou publicitaires. L’indicible est-il si difficile à dire ?

« Se réconcilier avec l’avenir »

Résumé :1789 :début de la révolution universaliste française.1989 : destruction du mur de Berlin et fin de la dernière utopie de ces deux derniers siècles. Fin d’une époque ? Peut-être. Plus sûrement une lente transformation de la manière de considérer l’Histoire.

Le sablier qui, jusque sur les écrans symbolise le Temps, avec un Présent étranglé, notre passé et futur, a pris peu à peu la forme d’un œuf où ce présent écrase un avenir que l’on craint parce qu’on ne sait plus l’envisager, sauf à le privatiser au profit du seul individu « spectateur-consommateur-actionnaire »

Or un présent qui n’est pas habité par l’avenir est collectivement invivable.

Qu’est-ce qui a dérapé pour que la pensée occidentale des Lumières enfante les pires totalitarismes ?

Comment retrouver le nécessaire principe d’espérance ? Comment redécouvrir les joies et les promesses d’une attente qui ne soient ni celles d’un messie rédempteur, ni celles d’une société idéale ?

Comment un Maçon peut-il participer à ce travail de refondation ?

 Durant toute l’année maçonnique,

Par ailleurs, chaque loge traite

rubandeuil